Consueto appuntamento di inizio mese con l'atletica francese. Riceviamo da Gilbert Rossillo l'ormai abituale messaggio che ci ricorda che, per chi ha interesse,  è disponibile sul loro sito Internet il nuovo numero della "Lettre" nella quale i componenti della Commissione pubblicano le loro ricerche e aggiornano i dati dell'atletica transalpina.

Bonjour à toutes et à tous,          
A​u nom de la Commission Documentation et Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme, j'ai le plaisir de vous adresser la 59​è ​lettre mensuelle d'information avec son traditionnel résumé des études réalisées ou mises à jour au cours du mois d'août que vous pouvez consulter plus en détail via le lien suivant : https://cdh.athle.com/

Lo studio che apre questo numero è riservato da Luc Vollard alla staffetta 4x100 che conquistò la medaglia di bronzo ai Giochi Olimpici di Tokyo 1964. Il che offre anche a noi l'occasione di rispolverare un chicinin di storia della nostra staffetta veloce che, tanto per dirne una, fra il 1956 e il 1976 ha sempre disputato la finale olimpica a volte mancando la medaglia per uno o pochi centesimi di secondo. Bei tempi...Adesso la parola a Luc Vollard.

Disputés tard dans la saison à Tokyo autour de la mi-octobre 1964, les XVèmes Jeux Olympiques de l’ère moderne vont mettre à rude épreuve les nerfs des supporters Français. Le 18 c’est une véritable catastrophe nationale que provoque la quatrième place de Michel Jazy, englué dans la cendrée détrempée du stade de Kasumigaoka et victime de son attaque probablement trop précoce à l’entame du dernier tour du 5000 m. Le moral remonte le 20 lorsque Maryvonne Dupureur réalise la course de sa vie en finale du 800 m et décroche l’argent. Le dernier espoir repose sur le relais 4 x 100 m masculin.
Notre équipe a en effet battu le record d’Europe à deux reprises durant l’été pour le porter à 39’’2 le 18 juillet sans Piquemal, claqué lors du 100 m. Genevay le remplacant, Brugier, Laidebeur et Delecour compensent ce handicap en profitant de la nouvelle réglementation qui a instauré une zone d’élan de dix mètres avant les vingt mètres pour le passage du témoin et s’approchent à un dixième du record du monde. Piquemal fait son retour en septembre mais la question se pose aussi de l’intégration de la révélation de l’été, le jeune Roger Bambuck, encore junior mais déjà co-recordman de France du 200 m. Finalement Genevay est conservé et c’est Brugier qui laisse sa place au départ, Laidebeur revenant dans la ligne opposée, Piquemal assurant le virage pour lancer Delecour vers l’arrivée. Les séries et la demi-finale se passent sans encombre en 39’’8 puis 39’’6.
Le 21 octobre, les tricolores occupent le couloir 2 en finale et réalise une course quasi parfaite à tel point que lorsque Piquemal transmet le témoin à Delecour, la France est en tête. Mais c’est à l’extérieur qu’une bourrasque dénommé Bob Hayes va s’abattre sur la piste pour ce qui a longtemps été considéré comme le plus fabuleux parcours de tous les temps. Hayes remonte un écart de l’ordre de six mètres et emmène avec lui le Polonais Marian Dudziak qui souffle la médaille d’argent. Dans le même centième, la France hérite tout de même du bronze en 39’’3 (Crédit photo AFP).
Rédaction Luc VOLLARD

Non così brillanti gli azzurri che pure qualche speranziella avevano acceso nei due turni di qualificazione. Al primo turno, batteria 1, vinsero agevolmente davanti alla Polonia e ebbero il miglior tempo delle batterie: 39.7 manuale, che a seguito delle ricerche successive sui tempi elettrici fu accertato in 39.74. Vittoriosi anche nella seconda semifinale, con un arrivo millimetrico: Italia 39.63, Polonia 39.63, Venezuela 39.65, URSS 39.70. In finale realizzarono il miglior crono ma non fu sufficiente per un piazzamento da medaglia: Livio Berruti, Ennio Preatoni, Sergio Ottolina e Pasquale Giannattasio furono settimi. Questo l'ordine della finale, il tempo del quartetto USA era nuovo primato mondiale: